En cours de route,
le gouvernant souhaite plier bagage,
car le souverain juge
désavantageuses
les actions préconisées.
Les conditions restent inchangées.
Déboussolé, le souverain
réclame toujours
ce qui lui est dû,
mais toujours sans prix.
La paralysie est préférable
aux ordonnances étrangères.
Le souverain exige
un nouveau gouvernant.
Que faire ?
Jean Poincy
Novembre 2002
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mardi 23 mars 2010
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